Un très bon dernier chapitre 
Presque aussi indigent coté scénario, Paul W.S. Anderson nous fait le privilège "d'admirer" encore sa (belle) épouse ET surtout de nous fournir quelques miettes d'explications. Ce dernier point, vous l'aurez compris, n'est toujours pas son but. C'est vrai, il aurait pu faire, allez, soyons pas fâche, une trilogie mais faire passer Milla à la postérité en seulement trois long-métrages...Pas grave, tant que le spectacle et la direction artistique assurent (c'est le cas). Faut quand même pas avoir mal au crâne, le montage et la multiplicité des angles de vue ne pourvoyant pas au confort optimale des nombreuses scènes d'action.
