Death "note"... c'est le cas de le dire... 
On m'avait conseillé de visionner les deux épisodes l'un après l'autre, j'ai donc attendu la sorti du deuxième et dernier volet pour mater ce "film".
Appeler ça un film serai bien trop flatteur pour ce genre de vidéo qui ne dépasse même pas un "Jdorama", le casting est orienté en ce sens, jeuns et "kawaii", des jeunes gens séduisants pour attiré les jeunes donzelles en mal d'amour et Erika Toda pour racoler les ados en pleine puberté.
Coté image c'est du même acabit qu'un mauvais Drama diffuser sur Fuji. Voila un "film" qui n'a pas du prendre plus de quelques jours de tournage.(....)Un "film" au scénario définitivement creux.
Ça ne vaut même pas une bonne série B...Pour résumer ce long en un mot, le néant.
Je ne reviendrai pas sur la prestation de nos acteurs, le talent n'est pas donné à tous
Enfin bref arreteons les sarcasmes....Cela reste un bon film pour l’ado fan de manga de son état, mais pour tout autre personne ce film se voit lourd, stupide et ennuyeux...
Ps: Perso je n'ai pas reussi à visionner le deuxieme chapitre jusqu'au bout.
Guts & Talks
Séquelle en complément au premier film, de qualité supérieure, sans toutefois réussir, là non plus, à égaler la qualité du matériau d'origine.
La réussite de ce second opus vaut d'une part en raison dune intrigue un brin plus passionnante, mais surtout par la qualité d'interprétation. Alors que le premier épisode s'était avant tout contenté à poser personnages principaux (dont des nombreux personnages féminins, afin de gagner les faveurs d'un public plus large…) et mode d'emploi du livre de la mort (écrit en anglais…), cette seconde partie peut se permettre de développer une vraie histoire. Ceci ne va bien évidemment pas sans chercher à supplanter le premier avec davantage de morts et d'effets (dont le second "Dieu de la Mort"), mais au moins les nombreux rebondissements apportent-ils une vraie fraîcheur à l'ensemble.
Et révèlent finalement les qualités d'interprétation de Ken'ichi Matsuymama dans la peau de "L". Si le gimmick de son insatiable envie de sucreries est rapidement éprouvé, ses particulières manières de se tenir, bouger et parler sont parfaitement repris du manga original. Face à lui, Tatsuya Fujiwara paraît du coup bien pâle. Dans le rôle de Misa Amane, la présentatrice / chanteuse Erika Toda complète avant tout un casting essentiellement destiné au premier public cible djeunz.
Dommage seulement, que le dénouement soit tellement invraisemblable, entre raccourcis scénaristiques et nouvelles règles d'écriture du Livre de la Mort rajoutées à la va-vite…
Bref, il ne faut surtout pas chercher à approfondir un fond quelconque, la franchise des "Death Note" étant avant tout pensés à l'exploitation purement commerciale sans autre interrogation. En cela, il remplit honnêtement le contrat, même si la platitude de l'écriture scénaristique et de mise en scène le font parfois ressembler à une série télévisée de luxe. Et de regretter, à ce qu'aucun réalisateur plus aguerri se soit emparé du matériel (et de fantasmer, "Shinya "Nightmare detective" Tsukamoto aux rênes d'un tel projet…).
digne
Death note 1 et 2 ne sont pas vraiment brillamment réalisés. Celà ressemble plus à un bon téléfilm qu'à une oeuvre de cinéma (acteurs mauvais dans l'ensemble, sfx douteux...). Mais les racourcis par rapport au manga sont plutot bien trouvés, ça sonne juste. Mais ça n'aurait pas été suffisant pour justifier le film... hors le film se justifie pour la simple et bonne raison que la fin, originale, sait brillamment jouer sur le fait que tout ceux qui verront le film auront déjà lu le manga... sans en dire plus, je trouve que meme si la saision 2 du manga prolongeait notre plaisir, la fin trouvé dans le film est tout bonnement superbe et aurait du etre celle du manga. A ce titre, Death Note le film est digne de l'univers d'où il vient car, comme l'anime qui apportait un peu plus d'émotion dans les relations entre les personnages, le film aborde sous un autre angle la fin de ce manga culte.
le fan-service au secours du cinéma commercial japonais : hourra !
Ca s'améliore par rapport à l'exceptionnellement mauvais premier volet. J'ai même cru que le réalisateur était différent, la mise en scène étant nettement moins balourde (mais n'en reste pas pour autant terriblement anonyme).
Mais je vais vous dire ce qui fait l'intérêt du film : la façon dont le réalisateur flatte l'oeil des gens de bons goûts aimant naturellement les jolies nanas. Passons vite fait sur quelques délicieux plans insistant sur les jambes interminables de
Nana Katase pour aller droit au but : la délicieuse
Erika Toda, véritable émanation de pure fan-service labélisée 100% kawaï qui dans une séquence d'anthologie qu'on croirait sortie d'un AV fétishiste se voit attachée à une sorte de siège de dentiste, totalement à la merci de nous autres pervers. Un grand moment.
Erika, je t'aime.
15 janvier 2008
par
Epikt
grand moment!
j'avais, après avoir vu le premier opus, trouvé l'attente trop longue avant de voir le 2è (pourtant ça a duré seulement quelques mois). cet épisode suit parfaitement le premier, il commence là où l'autre s'est arrêté. j'avoue qu'on ne s'ennuie jamais en le regardant. voilà un très bon film en somme. avec en plus la présence de Toda Erika, ce film devient génial.
Donc voilà, courez le regarder!!!
