Pour 15mn de Dieu
Le 1er quart-d'heure fait illusion, et rien que pour lui, quand on a suivi la carrière de l'artiste, c'est plaisant. Narration naïve, chouette scène de danse, enjeux absons : ça passe, on plane. Ensuite, ouch ! On bascule dans du mainstream foireux, peu aidés par un casting à la rue et un scénario aux fraises. La magie s'étiole très vite et permettrait presque à un MI2 de prendre - étonnamment - de la bouteille. Woo a eu du mal après ses problèmes de santé, mais tant pis, on fait avec ce qu'on a, ok. Merci pour tout, mec. Quand on est fan, on reste à bord malgré tout. Ca n'efface pas le passé, et rien que l'intention, sans déconner, écrase sans peine tous les Taken bis qui nous plombent tant depuis une bonne dizaine d'années. On lâche rien et à bientôt.